Engagement démontré et soutenu pour le développement des pays dans le monde :
J'ai plus de 25 ans d'expérience nationale et internationale sur des questions relatives au développement économique des pays. Conseiller Économique et de Développement du Président Kabila de la République démocratique du Congo (RDC); Haut Fonctionnaire de l'Organisation Mondiale du Commerce (OMC) à Genève, successivement : Coordonnateur régional pour le Département Asie et Pacifiques (un portefeuille de 50 pays), Coordonnateur régional pour le Département Afrique à l'Institut pour la Formation et la Coopération Technique de l'Organisation Mondiale du Commerce (un portefeuille de 54 pays plus 20 autres pays membres (non africain) de l'Organisation Internationale de la Francophonie).
"Après avoir conseiller et enseigner les européens et Asiatiques sur la performance de la douane en Chine, le voici aujourd'hui à Singapour pour conseiller et enseigner le commerce électronique à l'ère de l'économie Numérique"
"Pour l'intérêt de notre nation congolaise, nous demandons aux leaders du FCC-CACH de nous faire Ramener au pays ce fils digne de la RDC afin que cette expertise en Finances que les Européens et Asiatiques bénéficient nous soit aussi expérimenté pour une amélioration de notre chaîne des recettes congolaises"
RDC: Quelle économie pour espérer émerger? Osons oser!

Paraphrasant le Professeur Kenyais Ali Mazroui, je dirai que la RDC en particulier (et l’Afrique en général) produit ce qu’elle ne consomme pas et consomme ce qu’elle ne produit pas, accentuant ainsi sa dépendance et sa vulnérabilité. Ce qui est tout simplement inacceptable aux regards des potentialités du pays. Avec sa petite base productive, un secteur manufacturier embryonnaire (environ 10% du PIB), la RDC produit peu, transforme peu, exporte peu, et importe plus, d’où le déficit chronique de sa balance commerciale. En voici l’exégèse chers @KallyKiakwama et @De_muya.
Le combat doit commencer par inverser la tendance : organiser et élargir la base productive, développer la culture des produits à exporter. Le réalisme nous oblige et nous impose d’être sérieux; de faire de choix de secteurs et de produits stratégiques tels le cobalt, coltan, cuivre, lithium, etc. (pour les mines); café, thé, haricots, huile de palme, riz, maïs, manioc, etc. (pour l’agriculture), télécom, e-commerce, tourisme, banques, assurances et transport, etc. (pour les services)... Et ensuite d’organiser leur production, transformation, transport et distribution... par des politiques globales et sectorielles cohérentes en développant ou en se greffant sur des chaînes globales/régionales de valeurs et de logistiques des transports/distributions. Il y’a certes des préalables : rétablir la paix et la sécurité; investir dans le «soft » - éducation, santé, bonne gouvernance, refonte et réforme de l’administration, etc.; et investir dans le « hard » - infrastructures: énergies, network des transports (routes, rails, ports, airports, etc.), éducation, santé, sport, tourisme, etc.
Tout ceci devrait être coulé dans un plan global pluriannuel décliné dans des plans sectoriels pluriannuels avec des objectifs quantifiables et vérifiables (mesurables); des instruments actionnables; et des mécanismes de financement appropriés et innovants… Pour transformer la RDC, pour son émergence et son développement, il y’a lieu de réfléchir autrement… L’Etat doit devenir stratège et s’approprier de l’intelligence économique. L’Etat ne doit pas être émasculé, il doit être renforcé aux fins de bien orienter et mieux accompagner le secteur privé, voir même le créer. Osons oser! C’est possible, c’est faisable… Salut et bon dimanche chez vous. Faustin Luanga
RDC: L’un des objectifs premiers de la Banque Centrale du Congo (BCC) est de maintenir la stabilité des prix par une politique monétaire rigoureuse

Récemment, la BCC a eu à relever son taux directeur à 25% et on a crié à la panique. Je suis d’avis que rien de grave ne se produira dans une économie « très dollarisee » et « moins bancarisée » comme celle de la RDC. La BCC fonctionne avec seulement 15 à 20% de la masse monétaire en francs congolais; 85 à 80% étant hors du circuit bancaire. Ce phénomène est lié à la sous-bancarisation du pays; il existe un seul guichet pour 2 million d’habitants et pour une superficie de 56 000 km2. Dans certains coins du pays, il n’y a aucune institution financière.
Ne souffrons pas de la myopie ou du fétichisme des théories économiques dans un pays où le secteur informel règne en prince et la notion économique du marché susceptible de s’ajuster est questionable.
L’histoire économique récente de ce pays nous apprend que la BCC avait déjà relevé fortement son taux d’escompte de 20 à 65% en février 2005 (soit 45 points d’écart), afin de résorber le surplus de liquidités monétaires et contenir leur expansion, et rien de grave ne s’était produit. Demeurons alors serein.
Certes ce relèvement des taux d'intérêt à 25%, rendra mécaniquement les prêts en franc congolais plus coûteux (une proportion négligeable par rapport au volume de prêt en dollars), ce qui pourrait freiner les dépenses et l'activité économique; et par ricochet cela pourrait potentiellement contribuer à limiter la pression sur les prix et contenir l'inflation.
Ce relèvement pourrait aussi créer un effect d’éviction en encourageant les investisseurs à déplacer leurs capitaux vers des actifs en dollars, ce qui pourrait renforcer encore la dollarisation de l’économie.
Cependant, comme l'économie de la RDC est étroitement liée au dollar et que la majorité des transactions se font en dollars, les fluctuations des taux de change peuvent jouer un rôle important dans la détermination de l'inflation. Si le franc congolais perd de la valeur par rapport au dollar, les importations deviennent plus coûteuses, ce qui peut entraîner une hausse des prix des biens importés et potentiellement contribuer à l'inflation. Sur le plan interne, des congolais qui convertissent au quotidien leur franc congolais en dollars verront leurs petites économies fondre suite à la dépréciation du franc. Car le dollar ne s’apprécie pas mais c’est le franc congolais qui se déprécie…
En résumé la pression inflationniste observée, la dépréciation du franc congolais par rapport au dollar sont des conséquences des effets combinés du dérapage monétaire, de l’augmentation des dépenses militaires suite à la guerre à l’Est du pays, de la hausse des prix des produits pétroliers, de rigidités du « marché » (spéculations et théorisation) suite au poids du secteur informel… Le relèvement de taux d’intérêt directeur de la BCC ne sait pas être le seul instrument pour résorber ce déséquilibre du cadre macroéconomique.

En mon humble avis, l'impact de ce relèvement de taux d'intérêt sur l'inflation dans une économie fortement dollarisée, sous-bancarisée comme celle de la RDC dépendra de la complexe interaction entre les taux de change, les politiques monétaires et budgétaires, et la structure de l'économie congolaise, qui malheureusement demeure trop extravertie, très dollarisée, et en large partie dans l’informel... Réfléchissons pour construire une économie qui répond aux besoins et aux attentes des congolais.
Dr. Faustin Luanga
RDC: (3) Secteur Agricole - Quelques éléments de réflexions
Bonjour. Voici ci dessous ma troisième réflexion. Après celles portant sur le rôle des partis politiques et sur l’éducation (l’homme congolais); la réflexion de ce jour se focalise sur le secteur agricole. Bonne lecture. Faustin Luanga
Dans un pays comme la RDC avec ses 102 millions d’habitants en 2023, et son immense territoire, la réduction de la pauvreté doit impérativement prendre en compte le secteur agricole, clé de tout progrès en RDC.
Quelle agriculture voulons-nous pour la population congolaise et avec quels moyens ? Le Pays a-t-il besoin de l’autosuffisance alimentaire (à produire impérativement localement) ou de la sécurité alimentaire (à se procurer à travers le monde), ou les deux?
Grâce à sa vaste étendue de terres propices à l'agriculture, ses amples ressources hydrauliques, et à sa forte croissance démographique composée majoritairement des jeunes, la République Démocratique du Congo (RDC), dispose d'un potentiel très large pour devenir un grand "grenier agricole" c'est à dire capable de produire et d'exporter des produits agricoles. Les conditions climatiques, y compris la pluviométrie, varient beaucoup d'une région à l'autre et offrent une excellente base pour le développement de diverses activités agricoles, sylvicoles et d'élevage. La croissance soutenue de la demande interne serait également un argument en faveur du développement du secteur.
Sur une superficie totale de 227 millions d'hectares, 75 millions (33%) sont classifiés comme des terres arables et des pâturages. Toutefois, la superficie activement utilisée est estimée à environ 7,5 millions d'hectares dont 3,5 millions pour l'agriculture et 4 millions d'hectares consacrées aux pâturages. La RDC dispose aussi de 55 millions d'hectares de forêts denses exploitables. La Cuvette du Congo, avec un réseau hydrographique qui représente la moitié d'eau douce de l'Afrique, dispose d'une variété agro-climatique favorable à la culture de la banane, du manioc, de l'hévéa, du palmier à huile, du cacao et du café, pour ne citer que ces produits. Les zones de montagnes vers l'Est et le Nord-Est du pays, avec un climat tempéré, se prête à l'élevage, à la culture de la canne à sucre, de la pomme de terre, du thé et du café. Par ailleurs, au centre du pays, les zones de savane sont favorables à la culture des légumineuses à graines, des céréales, du riz, du coton et aussi à l'élevage. La production halieutique d'environ 200'000 tonnes pourrait être triplée ou quadruplée...
Malgré son potentiel considérable, le secteur agricole tarde à devenir un important vecteur de diversification de l'économie nationale et de lutte contre la pauvreté. Le secteur emploie plus de 70% de la population active, fournit la principale source de revenus pour environ 80% de la population congolaise [toutes activités rurales confondues], mais sa contribution aux richesses nationales (PIB) n'a cessé de baisser. Estimée à 70% entre 1960 et 1980, la part de l'agriculture dans le PIB a chuté à 50% en 2000 et ne représente qu'environ [25% en de PIB en 2020]. Cela dénote une productivité nettement inférieure à celle des autres secteurs de l’économie. Les recettes d’exportation agricoles ont aussi décliné dramatiquement, passant de 334 millions $US en 1995, à 4,3 millions $US en 2003 et malgré la tendance de reprise n'ont pas encore retrouver leur niveaux de 1995. [Mettre à jour les statistiques]
L'agriculture congolaise demeure dominée par des unités d'exploitation polyculture d'ordre familial à petite échelle (1 à 2 hectares) associée au petit élevage (caprins, ovins, porcins et volailles); et la faible mécanisation résultant en un taux de productivité peu élevés dans de nombreuses filières. À part les plantations privées de café, du thé et de palmier à huile, la majorité des exploitations relève du régime foncier coutumier. Ceci a eu pour effet le non-enregistrement de la plupart des terres, et l'inexistence d'un marché foncier officiel. Le secteur se caractérise aussi par la fragmentation du marché intérieur, due essentiellement à l'insuffisance des infrastructures et au manque de platesformes commerciales, ce qui tend à réduire la marge bénéficiaire des producteurs. Les services d'extension demeurent embryonnaires et le manque d'un cadre légal décourage la création d'associations et coopératives agraires. L'accès au crédit demeure difficile et pénalise un secteur qui souffre d'un besoin important d'investissement en matériel biologique (toutes les plantations sont vielles, peu productives et vulnérables à un grand nombre de maladies) et en équipement agricole. Par ailleurs, les procédures d'exportation demeurent difficiles et les prélèvements importants, érodant la compétitivité du secteur agricole dont la plupart des intrants et équipements sont importés.
Que faire? Comment faire pour que la RDC devienne un grand "grenier agricole", capable de produire et d'exporter des produits agricoles? Quelle est la politique agricole du pays nous proposée par le gouvernement ? Quels seront les objectifs poursuivis par le gouvernement? Quels en sont les moyens financiers et autres instruments? Est ce que ces instruments sont ils de nature à permettre au pays d'atteindre les objectifs assignés?
Pour attirer plus d’investisseurs dans le secteur agricole, la loi agricole actuelle devrait évoluer pour accommoder la majorité de part au pourvoyeur de capitaux quelque soit son origine. Faire jouer la loi de la sous traitance pour promouvoir les nationaux. Le gouvernement devrait être en mesure de proposer clairement comment il compte re-dynamiser et promouvoir le Secteur Agricole et ses différentes filières; et surtout comment il va financer son programme?
Il faudrait particulièrement apprécié la planification par objectifs et le mapping des institutions et parcellisation agricole en raison des caractéristiques locales. C’est effectivement un moyen efficace d’intégration de nos populations. En voulant tout faire et centraliser (caractéristiques de grosses fermes décidées et gérées à partir de Kinshasa, comme Bukanga Lonzo), nous courons le risque des échecs en nous éloignant des besoins de citoyens et de ne proposer donc pas des solutions appréciées à leurs différents problèmes.
Il y a lieu de réfléchir sur quelques leviers: organisation, régulation, financement, formation/encadrement/accompagnement des fermiers et agriculteurs... Le Ministère de l’Agriculture avait convoqué une réflexion dans ce sens il y’a environ deux ans (en 2020?).
Merci d'avance pour vos échanges que je souhaite, novateurs, complémentaires et enrichissants.
Salutations fraternelles et bon dimanche chez vous. Faustin Luanga
RDC : Education, un grand chantier à bâtir

Le système éducatif de la République Démocratique du Congo (RDC) continue à former et à produire des milliers des diplômes sans rapport avec ou sans aucune vision cohérente de l'utilisation optimale de ces diplômés... Toute formation et/ou tout système éducatif devrait répondre à des objectifs sociaux et de développement donnés que s'est fixé le pays. Mais en cette matière, dommage d'observer que la RDC, comme dans beaucoup d'autres secteurs, navigue à vue... L'offre de l'éducation est en inadéquation avec la demande du marché de travail du pays. On doit réconcilier les deux. Le chantier de l'éducation dans son ensemble est à repenser... On ne peut pas vouloir changer « l’homme congolais » sans penser à changer aussi son école. L’école, ce n’est pas seulement des bâtiments, c’est surtout et avant tout des programmes susceptibles de répondre aux attentes du présent et de l’avenir du pays. Aucun pays au monde ne s’est développé sans un système éducatif bon et approprié. La RDC ne peut rêver de l’émergence ou du développement sans former dans des bonnes conditions (en infrastructures et en programmes) ses filles et ses fils qui vont porter cette émergence.
Dans un pays disposant d’immenses forêts et réserves d’eau douce, l’on devrait retrouver/revaloriser et créer des Grandes Ecoles formant des ingénieurs agronomes, des agronomes, des moniteurs agricoles; des ingénieurs spécialistes en pêches, en forêts, en environnement; des spécialistes en Zoologie, en Botanique, en Biologie forestière et marine, en Génétique, en Economie Bleue, Verte et Circulaire; etc. La RDC étant décrite comme un scandale géologique suite à ses multiples ressources minières et hydrologiques, l’on devrait revaloriser et créer des Grandes Écoles formant des ingénieurs des mines, d’électricités, des bâtiments, des conducteurs des travaux, etc. A l’instar de grandes écoles et des grands laboratoires d’agronomie (compte tenu de nos forêts), il serait impérieux au pays de se doter aussi des grandes écoles de médecines tropicales. Il faudrait aussi valoriser des formations intermédiaires d’artisans et de recyclage…
La refonte du système éducatif Congolais est un chantier extrêmement énorme qui risque de prendre plusieurs années au vu du niveau extrêmement bas de la population et surtout des formateurs.
Le moyen le plus rapide pour faire évoluer l'éducation est d'assurer l'inclusion numérique et avoir un plan de transition numérique très audacieux.
Vulgariser la fibre optique et l'accès au broadband sera un atout incontournable, pendant que les experts réfléchiront sur l'élaboration d'un nouveau programme scolaire et académique.
La mise à disposition de bibliothèques digitales, tout comme la télé-éducation, permettraient de diffuser plus rapidement le savoir. Seulement, cela impose ls stabilisation de certaines infrastructures: l’électricité notamment.
A la base de tout, et au cœur de tout programme que voudrait nous proposer des “fameux candidats présidents ou députés” nous devrions retrouver une place d’or aux questions de formation/éducation dans tous ses démembrements. Un pays qui ne maîtrise pas le savoir sera toujours à la traîne des autres... Avec Kofi Annan je dirai tout simplement: “Le savoir, c’est le pouvoir. L’information est libératrice. L’éducation est le principe du progrès, dans toute société, dans chaque famille...” Nous devons continuer à nous former, à nous informer et à échanger.
La Bible ne dit pas qu'au commencement était le Verbe? La RDC manque-t-elle le savoir? Ça se discute...
Salut et bon dimanche chez vous !
Faustin Luanga, économiste congolais au service de l’humanité, citoyen congolais avec droit de cité.

SADC: Après l'étape, la délégation de la RDC vient d'être reçue par le président du Zimbabwe, Mr Emmerson Mnangagwa. Objectif : obtenir le vote pour Dr Faustin Mukela Luanga au poste de Secrétaire Exécutif de la SADC

LES DEFIS SECURITAIRES, ECONOMIQUES ET POLITIQUES POUR UNE STABILITE DURABLE DE LA SADC. ENTRETIEN EXCLUSIF AVEC LE Prof. FAUSTIN LUANGA MUKELA, CANDIDAT AU POSTE DE SECRETAIRE EXECUTIF DE LA SADC

La campagne vient de commencer , le prof Dr. Faustin Mukela Luanga PhD candidat au poste du secrétariat exécutif de la SADC en campagne après Angola , la délégation qui accompagne le candidat fera plus de 7 pays cette semaine notamment Zimbabwe ,Afrique du sud, Zambie, Tanzanie, Swaziland, Lesotho et Mozambique.
La seconde étape la semaine prochaine. Prions pour notre candidat.



Felix Tshisekedi nomme Faustin Luanga ambassadeur itinérant
Par Rodrigue Fénélon Massala - 5 juin, 2021

Le candidat de la RD Congo au poste de secrétaire exécutif de la SADC a été promu aux termes d’une ordonnance présidentielle rendue publique ce vendredi 4 juin, ambassadeur itinérant du chef de l’Etat Félix Tshisekedi chargé du suivi des organisations internationales.
Fonctionnaire depuis 1996 à l’Organisation mondiale du Commerce (OMC), Faustin Luanga vient d’être conforté dans une position qui lui permettra d’aborder avec méthode, la phase cruciale des interviews des prétendants au poste de secrétaire exécutif de la Communauté économique des Etats d’Afrique australe (SADC) qui débuteront la semaine prochaine .
Docteur en économie formé au Japon, il est spécialiste du commerce international. Poulain de Felix Tshisekedi, homme de l’ombre et des dossiers spécifiques auprès du président de la RDC, Faustin constitue un atout pour le rayonnement de la politique régionale du chef de l’Etat congolais.
A l’annonce de sa nomination, l’homme qui s’est confié à Financial Afrik a d’abord remercié le président Tshisekedi pour la confiance portée à son égard, et nous a précisé être préparé à relever les challenges et les défis en vue de partager la vision d’une SADC des peuples et pour les peuples.
RDC RTNC Écho d’Europe: Jean Pierre Onema reçoit le Prof Dr Faustin Mukela Luanga, le Candidat officiel de la RDC au poste du Secrétaire Exécutif de la #SADC: Sommet de Paris sur le financement des économies africaines, soutiens des FARDC à l’Est de la RDC, la candidature de la RDC pour diriger la SADC, tout y est... Suivez et appréciez. Salut chez vous.
DRC RTNC Echo of Europe: Jean Pierre Onema receives Dr Faustin Luanga, the official candidate of the DRC for the post of Executive Secretary of the SADC: Paris Summit on the financing of African economies, support of the FARDC in the East of the DRC, the DRC's candidacy to lead the SADC, everything is there ... Best regards and enjoy the show.
La SADC entrera-t-elle dans l'histoire en élisant un francophone à son poste le plus élevé ?
La Communauté de développement de l'Afrique australe communément appelée par son acronyme SADC est une organisation sous-régionale qui regroupe seize pays. Neuf pays anglophones, ( Botswana, Eswatini, Lesotho, , Malawi, Namibie, Afrique du Sud, Tanzanie, Zambie et Zimbabwe) deux, lusophones (Angola, Mozambique) et oui, cinq, pays francophones (Comores, République démocratique du Congo, Madagascar, Maurice, Seychelles)
Un francophone doit encore occuper le poste suprême de Secrétaire exécutif de l'Organisation. Les élections du septième Secrétaire exécutif auront lieu en août prochain, et c'est désormais un duel entre un candidat anglophone Elias Mpedi Magosi du Botswana et un candidat francophone, le professeur Dr. Faustin Luanga Mukela de la République démocratique du Congo.

Dr.Prof Faustin Luanga Mukela
M. Elias Magosi est l'actuel secrétaire permanent du président du Botswana. Diplômé en économie et statistiques avec un diplôme d'études supérieures en organisation et développement, il a une vaste expérience dans le gouvernement, et c'est sans surprise qu'il occupe le poste actuel qui fait de lui le chef de la fonction publique du Botswana. Il ne semble pas avoir d'expérience avec les organisations internationales en dehors d'un passage d'un an dans la SADC de 2017-2018. Beaucoup restent encore intrigués par le choix de M. Magosi de vouloir quitter un poste puissant comme celui qu'il occupe actuellement, pour un dans une organisation sous-régionale! Compte tenu du fait que la SADC a son siège au Botswana, il n'ira nulle part, alors certains pensent que la réponse à cette question souffle dans le vent de la politique intérieure du Botswana.
Candidat de la République Démocratique du Congo, le Professeur Faustin Luanga Mukela est économiste de formation. Il est titulaire d'un doctorat de l'Université de Nagoya au Japon qu'il a obtenu en 1994 après une maîtrise en relations internationales, économie et finance internationale de l'International en 1991. Engagé dans les questions de développement depuis plus de 25 ans, Faustin Luanga Mukela est un haut fonctionnaire de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) à laquelle il a adhéré en 1996. Entre 2001 et 2003, il a effectué un bref passage dans le cabinet du président de la République de RDC de l'époque, Joseph Kabila, en tant que conseiller en économie questions et développement, puis comme administrateur, avec rang de ministre, du Programme National de « Désarmement, Démobilisation et Réinsertion (DDR) entre 2004-2006 suite aux Accords de Paix de San City.
A son actif, il a été à la base de la formulation et de l'exécution de plusieurs programmes de développement des pays africains au sein des instances internationales. Cela explique ses liens étroits avec l'OMC et d'autres institutions telles que la Banque mondiale, la FAO, l'OMS et l'OIT. Faustin Luanga Mukela est, entre autres, chercheur et professeur d'économie, de finance et d'économétrie à l'Université de Nagoya au Japon, et à l'Université internationale de Genève en Suisse. Il a été l'un des experts qui, lors de la fusion du plan oméga du président Wade et du plan africain pour le millénaire (carte) du groupe des présidents Mbeki, Obasanjo, Moubarak et Bouteflika qui a donné naissance au NEPAD.
Le candidat de la RDC, au poste de Secrétaire Exécutif de la SADC, bénéficie d'une grande expérience dans la gestion de grandes institutions et d'une bonne maîtrise des défis majeurs qui pèsent sur les pays membres de l'Union Africaine, dans leur contexte global et spécifique l'environnement, notamment en matière de développement économique, social et environnemental en lien avec l'agenda 2063 de l'Union africaine. Les communautés économiques régionales, comme la SADC, visent à faciliter l'intégration économique régionale entre les membres de chacune des régions et au sein de la grande Communauté économique africaine (CEA), créée par le traité d'Abuja en 1991.
Seuls deux des seize États membres de la SADC ont demandé à remplacer Dr. Stergomena Lawrence Tax, une ressortissante de la République-Unie de Tanzanie, qui est la sixième Secrétaire exécutive et la toute première femme Secrétaire exécutive de la SADC, après sa nomination en août 2013. Ainsi, seule l'histoire dira si nous sommes sur le point d'assister à une autre première, sous la forme d'un Secrétaire exécutif d'un pays francophone.
La concurrence s'intensifie donc au fil des jours. Lors d'une réunion avec le président du Malawi, le président du Botswana a réussi à convaincre le premier de déclarer son soutien à son candidat. Le président Félix Tshisekedi, l'actuel président de l'Union africaine croit en une diplomatie plus silencieuse qui semble désormais porter ses fruits. Il voyage désormais avec son candidat désormais fréquemment vu, pour être présent dans ses audiences avec nombre de ses confrères de la sous-région. L'élection d'un candidat du pays qui abrite le siège est assez rare dans la politique des organisations régionales, ce fait semblera être au cœur de nombreux autres pays étant réticents à avoir le pays hôte qui fournit déjà cinquante pour cent des dotation en personnel pour occuper désormais le poste le plus élevé.

En attendant, en amont du sommet d'août, les négociations de positionnement se poursuivent, sans doute en vue de trouver un compromis comme il est d'usage au sein de la SADC. A défaut, les chefs d'Etat seront appelés à départager les deux candidats. Ce qui serait une autre première dans l'histoire de la SADC.
Une expérience avérée, un atout indéniable pour le rayonnement de l’organisation sous-régionale
Économiste de formation, Faustin Luanga est titulaire d’un phD en sciences économiques de l’Université de Nagoya du Japon obtenu en 1994 et d’une maîtrise en Relations Internationales, économie et finances internationales de l’université Internationale du Japon obtenue en 1991.
Ancien administrateur du Programme National de Désarmement, Démobilisation et Réinsertion, D.R. Congo (2004-2006), il a été à la base de l’élaboration et de l’exécution de plusieurs programmes de développement des pays africains au sein des instances internationales.

A tout prendre, le candidat de la RDC représente le choix de la raison. Ses innombrables expériences de mobilité internationale dans le cadre académique et professionnel plaideront sans doute en sa faveur, en plus de l’appui dont il bénéficie déjà en interne. Seul pays membre ayant encore son quota intact pour proposer des candidats à ce poste, la RDC peut, au regard du profil de son candidat, s’assurer, d’ores et déjà, d’un plébiscite.
Cellule de Communication du Chef de l’État
Prof. Dr. Faustin Luanga Mukela
Au cours d’un entretien qui a eu lieu ce mardi 27 avril, le coordonnateur du Mecanisme national de suivi de l’accord cadre d’Addis-Abeba(MNS), Claude Ibalanky, a rassuré le candidat congolais au poste du secrétariat exécutif de la Communauté de développement de l’Afrique australe (Sadec) du soutien du Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, à sa cause pour le compte de la République Démocratique du Congo.

En effet, Claude Ibalanky a informé son visiteur les différents efforts entrepris, ainsi que les contacts déjà pris par le Chef de l’Etat pour le gain de cause.
Ainsi, le Président de la République Félix Tshisekedi a reçu son homologue zambien, Edgard Lungu, le week-end dernier à Kinshasa. Il en a profité pour solliciter et obtenir le soutien de la Zambie à la candidature congolaise.
Dès son retour de Paris où il a été reçu ce mardi 27 avril par son homologue français, Emmanuel Macron, Félix Tshisekedi s’entretiendra avec Faustin Luanga au courant de cette semaine, renseignent nos sources.
Parmi les personnalités clés déjà ralliées à cette candidature, figure le nouveau vice-premier ministre et ministre des affaires étrangères, Christophe Lutundula. Il a promis pour sa part de s’impliquer pleinement pour faire de cette cause l’une de ses priorités diplomatiques.
Cependant, Faustin Luanga lui-même a déjà rencontré et échangé avec plusieurs conseillers du président de la République et d’autres personnalités congolaises et internationales du premier plan. Tous lui ont promis de s’impliquer dans la campagne.
Notons que l’élection du prochain secrétaire exécutif de la SADC aura lieu au mois d’août 2021, à l’occasion du sommet des chefs d’Etats et des gouvernements de cette organisation sous régionale
La Rédaction
La RDC est prête avec Fautin Luanga au poste de Secrétariat Général de la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC). Le Botswana joue au trouble fête avec Elias Magosi. Ancien Secrétaire permanent adjoint à la présidence du Bostwana, le "fonctionnaire le mieux payé", avait révélé Botswana Guardian. Bombardé ambassadeur itinérant, Elias Magosi va-t-il maîtriser la diplomatie?


Contrairement à Elias Magosi, parachuté comme Secrétaire permanent adjoint à la présidence du Botswana, il y a été nommé quelques jours après l'accession du président Mokgweetsi Masisi à la présidence le 1er avril 2018. Elias Magosi a beaucoup de chance, le "Fonctionnaire le mieux payé " avait révélé Botswana Guardian, vient d'être bombardé ambassadeur itinérant, pour apprendre la diplomatie en deux mois avant l'élection au secrétariat exécutif de la SADC. Le 15 mars dernier, le président Botswanais Mokgweetsi Masisi était à Kinshasa, pour vanter les mérites de son poulain et tenter de persuader la RDC de retirer la candidature de Fautin Luanga. La RDC et le Botwana sont les seuls deux pays, qui ont statutairement droit, cette année, de présenter des candidatures, au poste de secrétaire exécutif de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC), dont l’élection aura lieu en août prochain.

La RDC est un éléphant qui se réveille. À Kinshasa et dans les pays Membres de la SADC, les choses bougent et évoluent positivement dans l’ombre. Contrairement aux spéculations sans fondement, des médias "Coupagistes", adeptes du "Congo Bashing" ! La RDC porte la candidature de Faustin Luanga et soutient son candidat avant, pendant et après son élection. A Kinshasa, les choses s'activent. Le professeur Faustin Luanga a pu rencontrer le vice-Premier ministre aux affaires étrangères, Christophe Lutundula en audience. Les deux personnalités ont échangé utilement pendant une heure du temps. Le VPM a promis de s’impliquer pleinement dès l’investiture du gouvernement et de faire de cette candidature une de ses priorités diplomatiques. Ainsi, dès l’investiture, il a promis de faire une tournée d’itinérance diplomatique dans les 15 pays autres pays membres de la SADC. Ils se sont promis de se revoir régulièrement.

Entre Elias Magosi, qui a deux mois pour apprendre la diplomatie internationale et Faustin Luanga qui depuis 25 ans y est dans cette diplomatie internationale, le choix est clair. Et la RDC, qui a longtemps laissé sa place aux autres pays, veut jouer son rôle. Le Grand Congo ne laissera pas sa place chiper le Botswana. La diaspora congolaise soutient la candidature de Faustin Luanga, un digne fils du Congo, qui fait sa fierté hors du Grand Congo ! Le lancement de Faustin Luanga en orbite de la SADC est prête.
#RDC Finances Publiques: La cacophonie continue...

Il circule sur les réseaux sociaux deux courriers adressés au Chef de l’Etat de la RDC, émanant respectivement de l’Inspecteur Général des Finances et du Ministre des Finances (voir copies jointes ci dessous). Quelques questions. Les deux institutions ne savent elles pas se voir et se parler? Le ministre des finances n’est il pas sensé savoir ce qui constitue exonération légale et/ou illégale? N’est il pas celui qui a compétence d’autoriser les exonérations? Outre, les fonctionnaires de l’Etat n’accusent ils pas bel et bien le retard de deux à trois mois d’arriérés de salaire? Pourquoi des courriers adressés au Chef de l’Etat se retrouvent ils dans la rue/réseaux sociaux avant même que celui ci n’aie eu le temps de les lire ou analyser? Les faits, rien que les faits. Et ils sont têtus...

Tout ceci fait désordre. C’est tout simplement inacceptable et inadmissible. Pareil imbroglio au sommet est bien dommageable pour la crédibilité du pays.
Il est aussi bien déplorable cette précarité des finances publiques du pays; car la paie de décembre n'est pas garantie.
Par ailleurs, la crise institutionnelle politiquement entretenue dans la perspective des élections de 2023 accroît l'indice de risques du pays, ce qui ne favorise pas les investissements ou les importations via la finance commerciale - de crédits documentaires accordés, ou autres formes d’avances et découverts commerciaux - par des banques au pays ou à l'étranger.



Pourquoi l'IGF et le Ministère des Finances se détestent autant et se lancent-ils dans une guerre des tranchées ?
Pourquoi ne veulent-ils pas consulter les savants en la matière pour dissiper leurs malentendus?
Des économistes comme vous Professeur
, ce n'est pas qui manque au Congo, mais hélas !
Tout devient politique et surtout politicardisé, même le secteur qui ne devrait pas l'être...quel dommage !
En tout cas, la sanction positive ou négative des animateurs concernés me semble être le début d'une solution...même si elle ne saura résoudre toute la question, tellement la gestion des finances publiques de notre pays est au fond du gouffre.
Merci prof pour l'analyse très musclée. Cependant, je voudrais avoir d'éclaircissement sur le point qui concerne l'exonération. Peut on parler de l'exonération illégale pendant les autorités habiletés de les donner l'ont fait légalement ?. Nous savons tous que l'instabilité politique a une incidence sur le comportement de l'économie nationale et les recettes publiques. Dans le cadre de la rdc, l'instabilité inter institutionnelle publique est venu s'ajouter sur les conséquences de covid 19 sur l'économie, vous pensez que cette situation n'aura pas d'influence sur le bien-être collectif? Aussi, je fustige le comportement de l'igf. Cette institution est sous la gestion de la présidence et c'est celle-ci qui a droit à la conclusion du travail sous forme d'un rapport. Mais, ce que je déplore est que l'igf fait la publicité de son travail comme font les politiciens, pendant qu'ils sont techniciens.


(JPO) Sommet de Paris sur l'économie africaine / avec Faustin Luanga
La SADC entrera-t-elle dans l'histoire
23 mai 2021
MAYBELLE BOMA
CANDIDATURE_SECRÉTARIAT_EXÉCUTIF
FAUSTIN LUANGA, LE CANDIDAT DE LA RDC AU SECRÉTARIAT EXÉCUTIF DE LA SADC [PORTRAIT]
Une fierté nationale! C’est en ces termes que peut se décliner la personne de Faustin Luanga Mukela dont le cursus académique et professionnel est bien à la hauteur du génie qu’il incarne. C’est non sans raison que le gouvernement de la République Démocratique du Congo a présenté le 21 janvier 2021, par le biais du Ministère des affaires étrangères, sa candidature au poste de Secrétaire exécutif de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC).
La fonction sied parfaitement à ce grand baroudeur des arcanes des communautés économiques régionales d’Afrique qui trimballe plus de vingt-cinq ans d’expérience nationale et internationale sur des questions relatives à la gouvernance commerciale, au développement économique des pays et à leur intégration au système commercial multilatéral.

Face à un candidat botswanais
Au mois d’août 2021, la candidature de la RDC sera au menu du prochain sommet des Chefs d’État et de gouvernement de la SADC qui se chargera de désigner un nouveau secrétaire exécutif en remplacement de Stergomena Lawrence Tax déjà fin mandat. Face au candidat botswanais Élias Magosi, le Professeur Faustin Luanga Mukela présente des sérieux atouts qui le prédisposent à jouer un rôle moteur dans le fonctionnement de cette institution sous régionale.

Prof. Dr. Faustin Luanga Mukela
Faire de la SADC une communauté d’intégration capable de promouvoir une croissance économique durable et équitable, et lui garantir le développement socio-économique par le biais d’un système de production efficient, d’une coopération et d’une intégration plus importantes, tel est le rêve qui a toujours taraudé l’esprit de ce brillant intellectuel mû par la volonté faire de l’Afrique australe un acteur compétitif et efficace dans les relations internationales et dans l’économie mondiale.
Pour un secrétariat dynamique, axé sur le développement
Haut fonctionnaire à l’Organisation mondiale du commerce (OMC) depuis 1996 et, par ailleurs, Professeur d’économie, des finances et d’économétrie à l’Université de Nagoya (Japon) ainsi qu’à l’Université internationale de Genève (Suisse), Faustin Luanga Mukela nourrit des sérieuses ambitions pour la SADC. Il milite pour un secrétariat dynamique, capable de mettre œuvre des Programmes, mais aussi, à même de mobiliser des ressources pour le développement de la région, avec un management orienté vers l’action et le résultat.
Il est prêt à expérimenter toute réforme administrative et institutionnelle susceptible de booster le développement de cette communauté économique régionale. Son programme d’action est ancré essentiellement dans la vision 2050 de la SADC et dans le Plan Stratégique indicatif de développement Régional (Risdp) 2020-2030. Sa bonne maîtrise des défis majeurs qui pèsent sur le continent concernant les questions de développement économique, de paix, de la sécurité, du social et de l'environnement en lien avec l'Agenda 2063, il entend la mettre au service des peuples et des nations.
Marie-Roger Biloa y interroge des experts africains sur ce qu’il faudrait faire pour que la Zone de Libre Échange Continentale Africaine (#ZLECAF) ne puisse pas être une illusion de plus.
Une discussion franche, sans fards ni langue de bois pour poser les problèmes de manière objective et leur apporter des solutions pratiques et directes.
Marie-Roger Biloa, Milasoa Chérel-Robson , Papa Demba Thiam et Faustin Mukela Luanga Economiste congolais au service de l’humanité.
ZONE DE LIBRE ECHANGE CONTINENTALE AFRICAINE (ZLECAF), QUE FAUDRA-T-IL POUR RÉUSSIR ?
Kinshasa: le candidat au secrétariat exécutif de la SADC Faustin Luanga rassuré du soutien de Félix Tshisekedi par Claude Ibalanky
By yabiso 28 avril 2021
SADC: La RDC soutient Faustin Luanga face à Elias Magosi, apprenti en diplomatie!
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28 AVR. 2021 I PAR FREDDY MULONGO BLOG :I REVEIL FM INTERNATIONAL
La République démocratique du Congo est un géant au cœur de l'Afrique, qui se réveille tel un éléphant. Secrétariat Général de la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC), la candidature de Faustin Luanga dont la compétence, clairvoyance, expertise et l'intégrité dépassent les clivages politiques en RDC. Le fonctionnaire international de l'OMC, Faustin Luanga Mukela, avec plus de 25 ans d'expérience nationale et internationale sur des questions relatives au développement économique des pays.
Conseiller Économique et de Développement du Président Kabila de la République démocratique du Congo (RDC); Haut Fonctionnaire de l'Organisation Mondiale du Commerce (OMC) à Genève, successivement : Coordonnateur régional pour le Département Asie et Pacifiques (un portefeuille de 50 pays), Coordonnateur régional pour le Département Afrique à l'Institut pour la Formation et la Coopération
Technique de l'Organisation Mondiale du Commerce (un portefeuille de 54 pays plus 20 autres pays membres (non africain) de l'Organisation Internationale de la Francophonie)... a le soutient du Grand Congo, des Congolais et sa diaspora éparpillé dans le monde. La RDC est prête avec Faustin Luanga pour la SADC.

La survivance des exonérations illégales, pas seulement qu’elle amenuise les recettes de l’Etat, mais elle entretient la concurrence déloyale et fait le lit de l'approvisionnement monopolistique, un élément de chantage politique et sécuritaire... Il incombe «aux concepteurs et metteurs en œuvre des partenariats stratégiques » d'établir l'incidence positive sur l'économie nationale et le social collectif... Le Congo et le peuple congolais méritent mieux
Par Prof.Dr Faustin Luanga Mukela



Commentaires
C'est très important d'avoir des hommes comme vous car vous mettez votre savoir au service de vos compatriotes et de l'humanité, mais ce qui se passe en RDC actuellement est vraiment dangereux en terme de finances publiques lorsque la paie des agents et fonctionnaires de l'Etat devient incertaine comme c'est le cas maintenant il y a donc un risque sérieux qui nécessite une urgence.








Engagement démontré et soutenu pour le développement des pays dans le monde :
J'ai plus de 25 ans d'expérience nationale et internationale sur des questions relatives au développement économique des pays. Conseiller Économique et de Développement du Président Kabila de la République démocratique du Congo (RDC); Haut Fonctionnaire de l'Organisation Mondiale du Commerce (OMC) à Genève, successivement : Coordonnateur régional pour le Département Asie et Pacifiques (un portefeuille de 50 pays), Coordonnateur régional pour le Département Afrique à l'Institut pour la Formation et la Coopération Technique de l'Organisation Mondiale du Commerce (un portefeuille de 54 pays plus 20 autres pays membres (non africain) de l'Organisation Internationale de la Francophonie)...
Cette pandémie bouscule le monde. Elle bouscule aussi les théories économiques, philosophiques et politiques qui soutiennent l’#ordremondial depuis la fin de la deuxième guerre mondiale. Des pays, des états nations, des communautés se renferment et se barricadent; la construction européenne, présentée jusque là comme le grand succès du model d’intégration économique et politique perd son socle de « solidarité et d’entraide ». En pleine « guerre mondiale contre la pandémie »,l’#OTAN, la machine de guerre occidentale, est curieusement aphone et dépassée.
J’espère que vous vous portez bien. Je vais bien et continuer à travailler de la maison - mesures de confinement obligent! Nous en profitons pour penser à l’impact de la pandémie du Coronavirus - #Covid19 - sur notre vie, sur l’économie nationale et mondiale...
D’après l’Organisation Mondiale de la Santé, la pandémie qui est partie de la Chine en décembre 2019 a infecté à ce jour plus de 800’000 personnes dans le monde et fait plus de 40’000 morts. Le virus a été détecté dans au moins 171 pays. Le plus grand nombre de cas ont été enregistrés actuellement aux Etats-Unis, en Italie, en Chine et en Espagne.

Sous sa forme simplifiée, les ménages possèdent le capital et la main-d’œuvre, qu’ils vendent aux entreprises, qui l’utilisent pour produire des biens et services que les ménages achètent ensuite avec l’argent que les entreprises leur ont donné, complétant ainsi le cercle... Le point à retenir est que toute l’économie moderne continue de fonctionner seulement lorsque l’argent continue à circuler. Le flux financier se retrouve ainsi au centre de toute activité économique.
La crise du COVID-19 a frappé la «machine économique» à plusieurs endroits en même temps perturbant considérablement la circulation des personnes, des biens et de services. Elle attaque les sociétés en leur sein, faisant des morts et détruisant des moyens de subsistance. Tout le fonctionnement de l’ordre - économique, social, et politique - établi se trouve affecté.
Les effets potentiels à plus long terme du Covid-19 sur l'économie mondiale et sur l’économie de chaque pays sont désastreux. Cette pandémie touche et affecte la plupart des Objectifs de Developpement Durable (voir le graphique dans la photo ci dessous). Pour les gens pauvres qui vivent au jour le jour avec de revenus aléatoires comme en République démocratique di Congo (#RDC) et dans la plupart des pays moins avancés d’Afrique et d’ailleurs; les chocs seront énormes.
#Coronavirus va nous plonger dans une récession économique mondiale sans pareille. Après avoir perturbé les chaînes globales de productions mondiales et les logistiques de transports; les interventions de distanciation sociale - des fermetures de frontières, des recommandations visant à limiter la taille des rassemblements sociaux, des blocages soutenus par l’armée et la police, - toutes ces mesures vont certes aider à contenir la propagation du coronavirus, mais en même temps elles entravent la capacité des gens à acheter bon nombre des biens et services qu’ils achètent normalement. Il va en résulter une baisse spectaculaire de la demande des consommateurs qui déprimera la demande globale et plongera l’économie dans le chaos.
Au fur et à mesure que les choses évoluent, si le choc économique de la distanciation sociale finit par déclencher une crise financière, il pourrait rivaliser avec la Grande Dépression, lorsque le PIB américain s’est contracté de 30 % entre 1929 et 1933 et que le chômage a atteint un sommet de 20 %.
Beaucoup d’entreprises devront également licencier des travailleurs, ce qui aggravera le choc de la demande globale. L’effondrement de la demande globale et les licenciements qui en résulteront pourraient entraîner une nouvelle crise financière alors que les entreprises et les travailleurs peinent à s’acquitter de leurs obligations en matière d’endettement...
Dans un nouveau rapport intitulé Responsabilité partagée, solidarité mondiale : répondre aux conséquences socio-économiques du Covid-19, le Secrétaire général de l’ONU appelle chacun à agir ensemble pour faire face à ces conséquences et atténuer le coup porté aux populations (rapport disponible sur le site de l’ONU).
Sommes nous, serions nous prêts? Il importe d’y réfléchir dès maintenant. N’est ce pas?
Salut chez vous et protégez vous. Faustin Luanga, Economiste congolais au service de l’humanité.



Cette crise sanitaire bouleverse nos habitudes et notre façon de vivre en société. A part la terreur et la mort qu’elle sème, la pandémie Covid-19 force des autorités politiques à prendre des mesures qui énervent toutes les libertés fondamentales (libertés de circuler, de travailler, d’étudier, de prendre de vacances, de socialiser, etc...), libertés pour lesquelles l’humanité s’est battue durement à travers les âges...

La décision des autorités de «confiner» des gens en leurs domiciles va demeurer dans les annales d’histoire comme l’une des mesures vraiment liberticide. Globalement, environ trois milliards de personnes sont confinées chez elles à travers le monde... Quand le fait de circuler en dehors de sa résidence requiert désormais une permission sous peine d’amendes, on se croirait dans une «prison mondiale». Combien de temps l’humanité va-t-elle demeurer confinée?
Ces mesures mettent aussi à nu des faiblesses au niveau de capacités de résilience des structures hospitalières dans les « grands pays », qui après avoir amoindri et émasculé le rôle de l’Etat dans la définition
et la gestion des politiques sociales et sanitaires, observent médisant, le retour en force de l’Etat dans la gouvernance de la cité. La «main invisible» et son «fétichisme d’autorégulation» a tout simplement montré ses limites opérationnelles. Quand l’information est asymétrique et le marché imparfait, la gestion de la cité a besoin d’un pilote pour être efficace. Seul l’Etat peut jouer ce rôle.
Ces mesures liberticides montrent aussi les limites de l’imaginaire politique dans les pays à proposer des politiques ou mesures alternatives pouvant mieux sécuriser les citoyens. Tenez! Contrairement à la France, l’Angleterre, l’Italie, l’Espagne, et tant d’autres pays qui appliquent le confinement intégral, la Suisse n’applique pas ce type de confinement total; le pays utilise la géolocalisation de bornage téléphonique mobile pour vérifier les mesures de distanciation sociale. A voir le nombre élevé de décès dans les pays appliquant les mesures de «confinement intégral», il y a lieu de s’interroger sur son efficacité par rapport à d’autres mesures alternatives. Par exemple, à Hong Kong, une entité d’environ 8 millions de personnes, avec une densité très élevée par kilomètre carré d’environ 7’000 personnes s’en sort très bien avec 4 décès; sans confinement de la population mais en portant seulement des masques. Il en est de même du Japon avec environ 70 décès et d’autres pays asiatiques. La Suède et le Pays Bas, pays qui n’appliquent aucune mesure de confinement, enregistrent jusque là peu de décès par rapport à l’Italie, l’Espagne, les États Unis, la France, etc.; pays qui appliquent des mesures de confinement.
Enfin, ces mesures de confinement ne peuvent pas et ne doivent pas s’appliquer d’une façon uniforme à tous les pays. Elles sont tout simplement impossibles à mettre en œuvre dans la plupart de pays africains et autres pays sous développés ainsi que dans les pays moins avancés. Dans ces groupes des pays, certaines personnes sont très pauvres et vivent avec des revenus aléatoires collectés sur base de petits boulots quotidiens. C’est de la débrouille dans le secteur informel. Ces gens sont dans l’incapacité de survivre sans ces petits boulots ou de se constituer de stocks de denrées alimentaires pour une ou deux semaines. Ces populations vivent dans une proximité aiguë rendant le confinement en leurs résidences plus difficiles et dangereux. Imaginez des milliers de confinés dans des bidonvilles ou favélas surpeuplés, de fois dépourvus d’eau et d’électricité...
Comme l’a très bien écrit un ami
, si le Covid-19 est là pour longtemps, il est impérieux de commencer à réfléchir comment vivre et coexister avec cette maladie comme on le fait avec d’autres maladies, que de continuer à confiner des citoyens, qui risquent de ne pas supporter cette mesure liberticide pendant encore très longtemps. Diriger, c’est prévoir et anticiper dit-on... Salut chez vous. Bonne fête et bon dimanche de rameaux pour nous chrétiens. Célébrons l’entrée triomphale de Jésus dans nos vies.
Faustin Mukela Luanga , au service de l’humanité.


Covid19, distanciation sociale, mesures de confinement, et les libertés fondamentales.

Dr. Prof Faustin Luanga Mukela
L’économie politique de Covid-19:
Par Dr. Prof Faustin Luanga Mukela

Depuis les années 30, les économies avancées et émergentes - le monde entier - n’a pas connu à la fois une rupture/dégradation sévère du commerce mondial, une baisse des prix mondiaux des produits de base et un ralentissement économique synchronisé.
Avec la crise du coronavirus, le monde est confronté à trois types de risques : une pandémie non maîtrisée, des arsenaux de politiques économiques insuffisantes et mal coordonnées. Ces risques seront suffisants pour faire basculer l’économie mondiale dans une dépression persistante et une crise des marchés financiers.
Le fonctionnement de toute économie moderne est basé sur une bonne circulation du flux financier: achat et vente (pour les consommateurs et producteurs); paiement de salaires ou de dividendes (pour les travailleurs/ménages et propriétaires/investisseurs/entreprises); paiement de taxes ou différentes allocations (l’Etat, ménages, entreprises); et opérations import-export (avec le monde extérieur/le reste du monde). C’est en quelque sorte une version d’un diagramme circulaire de flux d’argent bien connu et utilisé dans les manuels d’économie.
Le coronavirus et l’Ordre mondial
Par le Dr. Faustin Luanga Mukela



En Europe, face au refus d’Allemagne de les aider, l’Italie, la France, deux pays Européens et membres de l’OTAN se retrouvent secourues médicalement et sur le plan de la logistique par la Chine asiatique et non membre de l’OTAN. Assistons-nous à la déconfiture des alliances et à la refonte de l’ordre mondial? Sur le plan économique, toutes les « orthodoxies budgétaires et financières » volent en éclat et sont en train d’être abandonnées. Des plans massifs d’aide et de soutiens financiers par les États et les Banques centrales sont annoncées avec de montants pharaoniques - multi milliards de dollars américains, euros et autres devises fortes. Preuve que l’argent n’a jamais été absent dans ce monde quand il s’agit de « sauver des intérêts qui comptent ».
Certains penseurs n’hésitent pas à faire des prédictions. En cela, Monsieur Attali est passé maître dans des predictions. Certaines se réalisent mais la plupart ne se réalisent jamais. Ce qui est sûr avec le monde capitaliste, tant qu'on continuera à privatiser les gains et à socialiser les pertes, le peuple sera toujours perdant, avec ou sans virus, crise après crise... Contrairement à Monsieur Jacques Attali, personnellement, je pense que « l’empathie » ne saura jamais devenir le dénominateur commun de la gouvernance mondiale - pour le nouvel ordre mondial qu’essaye de prédire Attali. A la sortie de cette grande pandémie, certaines puissances vont y laisser des plumes et perdront une partie de leurs influences (Italie, France, États Unis...); d’autres réaffirmeront leurs galons (la Chine, l’Allemagne); mais quelques soient les bouleversements, « l’argent, le gain et les intérêts » demeureront toujours au centre de processus des décisions planétaires. La hiérarchie des puissances dans « l’Ordre mondial » s’en trouvera impacter. La #RDC et l’Afrique seront elles prêtes et au rendez-vous ? Nous devons y penser et agir... Salut chez vous et tachez de bien vous protéger. Faustin Mukela Luanga, Economiste congolais au service de l’humanité.
RDC : Le plan de trésorerie déroge à la Loi de Finances
Par le professeur Faustin Mukela Luanga.

Un plan de trésorerie, attribué au Ministère des finances, qui sectionne le budget de l'Etat de la RDC de plus ou moins d’un-tiers (1/3) circule sur les réseaux sociaux... Cela appelle de ma part quelques réflexions qui suivent. Si problème il y a, c'est plutôt une loi de finances rectificative qu'il faudrait adopter et promulguer. C'est tout le potentiel fiscal qu'il faudrait revisiter. Cela suppose une (re)définition de la vision et de la politique du financement de développement du pays. Pour ce qui est de la fiscalité, après avoir défini les secteurs clés à promouvoir ou à protéger, cela suppose de réfléchir sur les « taux d’impositions » ainsi que des « bases d’impositions ».

L’on devrait réfléchir sur l’ensemble des instruments fiscaux à la disposition du pays et tirer des leçons sur leurs utilités. A titre d’exemple, l’on devrait faire des simulations sur la TVA pour retrouver la base imposable. Rapprocher cette donnée à la base de la TVA déductible et celle remboursable (missions de la DGI), ce qui permettrait de savoir l’encaisse réelle de l’Etat. L’on devrait aussi regarder du côté des droits d'accises et dans dans la mesure du possible l’élargir sur d’autres produits comme les cosmétiques et divisez par exemple par 10% pour trouver la base. Rapprochez cela aux
Un an de plus sur terre: Le Seigneur a fait pour moi des merveilles, Saint est son nom. Thank you Lord. Nashukuru. ありがとうございました。Arigatoo, Xiexie, Merci, Obrigado, Thanks, Danke, Shukran, Asante, Melesi, Tuasikidila, Matondo, Gracias, Terimakasih...
Comment te dire merci et te rendre grâce pour tous tes bienfaits? Toute ma vie, ma maison et moi célébrerons ton Saint nom... À ma famille, à vous mes ami(e)s, frères et sœurs, j’ai senti la force de vos encouragements et la générosité de votre solidarité à ma cause. En ce jour de mon anniversaire de naissance, je vous dis encore une fois GRAND MERCI À TOUT UN CHACUN ET CHACUNE DE VOUS... Vous demeurez la force qui forge ma motivation et mon inspiration. Soyez bénis. Prof. Dr. Faustin LUANGA.

besoins des consommateurs (60 à 70% de la population) pour dégager la potentialité des recettes probables. Outre, il va falloir regarder du côté des droits des douanes (DGDA) et du côté du judiciaire, domanial, et administratif (la DGRAD). Quelqu'un n’avait pas dit que la RDC est un pays des inconscients? C'est ici où on réclamerait l'ICA (Impôt sur le chiffre d’affaires) et où l'on a implanté dans la précipitation la TVA en la découplant du NIF (Numéro d’identification fiscale). Par ailleurs, la fameuse « gestion sur base caisse » et son plan de trésorerie que vient de présenter le Ministre des Finances n'est pas en antagonisme avec l'optimisation des recettes, l'un de rôles du MinFin. La RDC doit réfléchir et quitter la petite vision de gestion sur base caisse, une caisse trop petite par rapport aux ambitions de développement du pays. Il importe de réfléchir et de trouver des mécanismes innovants des financements de développement du pays. L’argent existe en masse de part le monde; que fait la RDC pour l’attirer ou aller le chercher? Voir ma note dédiée à ce sujet #RDC: Financement du programme de développement.

Félix TSHISEKEDI jette son dévolu sur l’Éminent Économiste Congolais, le Prof. Dr. Faustin LUANGA MUKELA comme Candidat de la RDC au Poste du Secrétaire Général de la ZLECAF.
John LUNGILA
L’éminent Économiste congolais de renommé mondiale, le Prof. Dr. Faustin Mukela Luanga a été présenté par le Président Félix TSHISEKEDI comme le Candidat de la République démocratique du Congo au Poste du Secrétaire Général de la Zone de libre échange continentale africaine – ZLECAf en sigle, dont le siège se trouve au Ghana.
Pour infos, le Secrétariat de la ZLECAf, fait du commerce en Afrique le vecteur de la transformation du continent pour une croissance économique et des emplois durables dans le cadre de l’Agenda 2063 de l’Union Africaine : l’Afrique que nous voulons.
Au départ, il y avait 121 Candidats africains à ce prestigieux poste. Après un concours très compétitif et sélectif, qui a vu le nombre des candidats réduit successivement à 30 puis à 6.
Après les interviews devant un Panel de haut niveau, 3 candidats ont été retenus dont le Prof. Dr. Faustin Luanga de la République Démocratique du Congo en tête de liste, dont les dossiers seront soumis à l’Assemblée des Chefs d’Etat africains pour discussions et décision lors de leur Sommet du 9 au 10 février 2020 à Addis Abeba, Ethiopie.
Les deux autres candidats retenus sont originaires de l’Afrique du Sud et du Nigeria. Mais, ni le Candidat du Nigeria ni celui de l’Afrique du Sud ne sont en bonne posture pour prétendre briguer à ce poste parce que

d’abord, la Banque africaine de développement (BAD) est dirigée par un ressortissant Nigérian de même que l’AFREXIMBANK tandis que le siège de la ZLECAF est dans un pays de la CEDEAO, le Ghana, pays anglophone.
Aussi, le Commissaire du commerce de l’UA (Mr Mchanga, de la Zambie) tout comme le candidat de l’Afrique du Sud sont tous les deux originaires de l’Afrique Australe. On ne peut pas avoir tous les décideurs de cette question fondamentale provenir tous de la même région. Ce n’est pas de l’intégration de l’Afrique australe dont il s’agit ici, mais de toute l’Afrique.
D’ailleurs, il est aussi à noter que le Commissaire chargé du Commerce est de la zone Afrique australe, et le CEO de l’IPRM est Sud-africain.
En plus, le ressortissant de l’Afrique centrale, le Prof. Dr. Faustin Luanga vient d’un pays, la République Démocratique du Congo, qui est encore totalement sous-représentée dans les effectifs dirigeants de la Commission de l’Union africaine.
Le Prof. Dr. Faustin Luanga, Enseignant d’Universités, parle cinq langues dont trois (anglais, français et swahili) des six langues officielles de l’UA (anglais, arabe, espagnol, français, portugais et swahili), plus le japonais et le lingala.
Il traine derrière lui une longue et riche expérience sur l’economie, la finance et le commerce mondial, l’intégration régionale et l’analyse des situations économiques des pays, la politique et présentement, il est présentement le Haut Responsable de l’Organisation mondiale du commerce « OMC » basée à Genève où il est chargé de l’Asie et de la Zone du Pacifique.
La dernière bataille s’est déplacée sur le terrain politique et diplomatique. Le Président de la République Félix TSHISEKEDI qui est très écouté par tous ses homologues africains, le Gouvernement de la République démocratique du Congo et tout le peuple congolais sont derrière notre unique Candidat dont l’élection consacrera la première grande victoire diplomatique palpable de la RDC pendant le quinquennat FATSHI et ça sera aussi la victoire de la compétence congolaise.
Toute la nation congolaise est derrière son candidat à qui, nous souhaitons déjà bonne chance.
Savoir marquer son temps au présent... Le présent du passé, c’est la mémoire ; le présent du présent, c’est l’attention actuelle ; le présent de l’avenir, c’est son attente.
POUR VOUS DIRE GRAND MERCI:
La sélection au poste du Secrétaire Général de la Zone de Libre Échange Continentale Africaine (ZLECAf) a pris fin le 10 février 2020. Je félicite Monsieur Wamkele Mene, le nouveau Secrétaire Général de la #ZLECAf et son pays l’Afrique du Sud. Je lui souhaite beaucoup de réussite pour son mandat et lui assure de mon accompagnement intellectuel pour la bonne cause de l’Afrique.
Je tiens à dire UN GRAND MERCI à Son Excellence Monsieur Felix Antoine Tshisekedi, Président et Chef de l’Etat de la République Démocratique du Congo (RDC), mon pays, pour son soutien et pour la defense de ma candidature au poste du Secrétaire Général ZLECAf jusqu’au bout de la procédure. Les élections par les Chefs des États africains pour pourvoir à ce poste ont pris fin. Je n’ai malheureusement pas été élu. C’était un long chemin et un bon défi intellectuel qui nous a conduit de 121 postulants jusqu’au dernier petit nombre de 3 candidats restant en lice après un processus très sélectif et compétitif. A ce défi intellectuel, s’est succédé une bonne guerre diplomatique et politique des pays dont vous connaissez désormais le résultat. Il y’a certes des choses que collectivement et individuellement on aurait pu mieux faire mais j’apprécie l’effort collectif et individuel dont chacun a fait montre. J’ai senti la force de vos encouragements et la générosité de votre solidarité à ma cause. GRAND MERCI À TOUT UN CHACUN ET CHACUNE DE VOUS... Vous demeurez ma force qui forge ma motivation et mon inspiration. Vive la #RDC, vive l’Afrique que nous voulons, vive #AfroChampions, et que vive l’#UnionAfricaine. Salut chez vous. Sincèrement vôtre, Faustin Luanga, Economiste congolais au service de l’humanité.

La RDC a-t-elle besoin du Fond Monétaire International pour son développement ? Oui et Non. Par ailleurs, la RDC doit d’abord se montrer économiquement et politiquement crédible pour se permettre une aventure sans soutien du #FMI...
J’ai délibérément voulu être pédagogique dans mes réponses pour expliquer des choses complexes dans un langage abordable... Bonne journée et salut chez vous. Faustin Luanga, Économiste congolais au service de l’humanité.
FEMME !
Par Dr.Prof Faustin Luanga Mukela


Elle fait face à une dichotomie existentielle: Dans le milieu rural, la femme « surexploitée » représente en elle seule une unité de production - une énergie hors paire qui nécessite reconnaissance, encadrement et promotion (Voir photo empruntée chez Sam Bokolombe, une photo qui me rappelle ma pauvre mère...). En milieu urbain, brandies quelques fois comme des trophées (Voir photo de la FEC), les femmes sont toujours confrontées à des obstacles sur le lieu de travail. Ce ne sont pas les femmes qui doivent changer, ce sont les attitudes des hommes. Changeons le paradigme. Respectons et valorisons la femme en la célébrant, pas seulement aujourd’hui, mais au quotidien. / Women still face barriers in the workplace. It is not women who must change, it is the attitudes of men. Let's change the paradigm. Respect and value women by celebrating her, not just today, but every day. Salut chez vous. Faustin Mukela Luanga, économiste congolais au service de l’humanité.
QUAND LA VRAIE INTELLIGENTSIA PARLE. LU POUR VOUS. La REGIDESO est tout simplement mal gérée.

Par Dr. Prof Faustin Mukela Luanga | Genève | Suisse

Les agents syndicaux de la Regideso menacent de priver la population de Kinshasa de la fourniture d’eau pendant la période des festivités de la fin d’année... Sans négliger ni minimiser leur revendication, je postule que la société de Régie de Distribution d’Eaux (Regideso) est tout simplement mal gérée. Prenons l’hypothèse minimaliste de un million d'abonnés qui paient 34 000 FC par mois.

C'est 34 milliards FC soit 20 millions USD dont 5 millions pour le personnel et 2,5 millions USD pour l'entretien, la maintenance, l'amortissement, et le renouvellement d’équipements pour le reste.
La REGIDESO pouvait ainsi avoir des usines de production d'intrants... A cette hypothèse minimaliste, il faut ajouter des grands consommateurs solvables que sont les fabriques et autres entreprises. Par ailleurs, les dettes de l'Etat congolais sont considérées comme douteuses et auraient pu être intégrées dans le coefficient de rendement global allant de la production à l'arrivée chez le consommateur. Le véritable problème c'est la gouvernance de l’entreprise...
Des secteurs couvrant des produits hautement stratégiques que constituent l’eau (Regideso) et l’électricité (Snel) devraient être dans le champ de mire de l'intelligence économique pour/et être très bien gérés. Il en va de l’intérêt national.
Salut chez vous et meilleurs vœux. Faustin Luanga, Économiste congolais au service de l’humanité.
Quelqu'un n’avait pas dit que la RDC est un pays des inconscients? C'est ici où on réclamerait l'ICA (Impôt sur le chiffre d’affaires) et où l'on a implanté dans la précipitation la TVA en la découplant du NIF (Numéro d’identification fiscale). Par ailleurs, la fameuse « gestion sur base caisse » et son plan de trésorerie que vient de présenter le Ministre des Finances n'est pas en antagonisme avec l'optimisation des recettes, l'un de rôles du MinFin. La RDC doit réfléchir et quitter la petite vision de gestion sur base caisse, une caisse trop petite par rapport aux ambitions de développement du pays;
Dixit le Prof. Dr.Faustin Luanga Mukela


Le séminaire ASEM (réunion Asie-Europe) sur la coopération de Guichet
Prof. Faustin Luanga Mukela

Le séminaire ASEM (réunion Asie-Europe) sur la coopération de Guichet Unique a lieu du 29 au 31 octobre et réunit des représentants de plus de 40 administrations des douanes asiatiques et européennes, ainsi que des organisations internationales et des entreprises du secteur privé. J'ai le plaisir d'échanger des points de vue avec les délégués des douanes sur le guichet unique et la facilitation des échanges. / ASEM(Asia-Europe Meeting) Seminar on Single Window Cooperation is held on 29-31 Oct with delegates from more than 30 Customs Administrations across Asia and Europe as well as international organizations and corporations from private sectors. It is my pleasure to exchange views with customs delegates on Single Window and trade facilitation.


In Singapore to lecture and discuss on WTO, eCommerce, DigitalTrade and the Need for EnablingEnvironment/ A Singapour pour enseigner et échanger sur l’OMC, le Commerce Électronique à l’ère de l’économie numérique. Ravi de rencontrer des amis et collègues de ce beau pays.



Dr. Faustin Luanga Mukela et le Vice Ministre chinois en charge de l’Administration des Douanes de la Chine.


Dr. Prof Faustin Luanga Mukela
#RDC: Le Gouvernement FCC-CACH - une coalition d’intérêts pour gouverner la cité... Saura-t-il nous faire rêver?
Prof. Faustin Luanga Mukela
Félicitations aux membres du nouveau gouvernement Ilukamba investi par le Parlement, à qui nous demandons de s’investir à fond pour améliorer le bien être des congolais. La RDC demeure confrontée à d'énormes défis dans son développement, y compris sa forte dépendance du secteur minier, l'amélioration de ses infrastructures, ses problèmes de gouvernance (y compris en matière de corruption et de gestion des finances publiques), et la faiblesse de ses indicateurs de développement humain. La dépendance de la RDC des recettes minières et pétrolières d'une part et des importations de biens de consommation d'autre part rend son économie très vulnérable aux chocs externes, d'où la nécessité de réformes structurelles pour promouvoir la diversification économique.
RDC: 30 Juin 2019: Congolaises et Congolais, faites l’indépendance...
Actualité : Prof Faustin Luanga Mukela
J'espère que tu te portes bien malgré le silence qui s'installe entre nous. Sache tout simplement que même quand le silence nous donne l'impression de l'absence, la pensée parvient toujours à revitaliser la présence qui se perd dans nos cœurs. Je pense beaucoup à toi et je t'aime toujours très fort... Bien sûr, je pense à elle; et à celle que j’ai tant aimée et que j’aime toujours, la République Démocratique du Congo... Bonne fête d’indépendance; Congolaises et Congolais faites l’indépendance... Faustin Luanga, citoyen congolais avec droits de cité...
En voici quelques images... outre leur appartenance à la Chine, ces deux territoires n’ont de richesse que l’intelligence et la vision de leurs dirigeants qui en ont fait la capitale mondiale des jeux (Macao) et un centre financier et logistique de plus haute importance dans le monde (Hong Kong). Je rêve d’un Congo meilleur... Salut et bon weekend chez vous.
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Le Samoa accueille un cours de politique commerciale de courte durée à l’intention des pays insulaires du Pacifique
Des représentants des gouvernements et du secteur privé des six pays insulaires du Pacifique qui sont Membres de l’OMC participent au premier cours de politique commerciale de courte durée à l’intention des pays insulaires du Pacifique, qui se tient à Apia du 10 au 21 septembre 2018.

Des représentants des gouvernements et du secteur privé des six pays insulaires du Pacifique qui sont Membres de l'OMC participent au premier cours de politique commerciale de courte durée à l'intention des pays insulaires du Pacifique, qui se tient à Apia du 10 au 21 septembre 2018.
Salut chez vous! Faustin Luanga, Économiste congolais au service de l’humanité.
Nouvelle: https://www.wto.org/french/news_f/news18_f/tra_10sep18_f.htm(temporairement en anglais)
SAMOA HOSTS SHORT TRADE POLICY COURSE FOR PACIFIC ISLAND COUNTRIES
Government and private sector representatives from the six Pacific Island countries that are members of the #WTO are attending the first full Short Trade Policy Course for Pacific Island countries, which is taking place in #Apia from 10 to 21 September 2018. Happy to meet and exchange with colleagues and friends in this part of the world. Faustin LuangaNews item: https://www.wto.org/engli…/news_e/news18_e/tra_10sep18_e.htm
Grande maîtrise des questions internationales; bonne interaction et familiarité avec les dècideurs politiques,les dirigeants des institutions multilatérales ainsi que des bailleurs de fonds: A travers les hauts fonctions qu'il a occupées, il s'est familiarisé avec des décideurs politiques, dirigeants des institutions multilatérales et des bailleurs de fonds: Jouissant de plusieurs années d'expériences sur les techniques de mobilisation et gestion de fonds des bailleurs, il a élaboré et exécuté plusieurs programmes de renforcement des capacités institutionnelles que des pays, renforçant de passage de liens institutionnels eentre l'OMC et d'autres institutions telles que la Banque Mondiale, le FMI, la CNCED, le CCI, l'UNIDO,l'OMPI, la FAO,l'OMS,le BIT, l'organisation Internationale de la Francophonie, l'Union Européenne, l'Union Africaine, la Commision Économique de l'ONU pour l'Asie, la Banque Asiatique de développement ainsi que plusieurs autres institutions économiques régionales en Afrique et d'ailleurs .

Se définissant comme néokeynésien Faustin Mukela Luanga est l'auteur ou coauteur de nombreux rapports d'expertises économiques, et une dizaine d'articles dans des revues scientifiques internationales à comité de lecture, dans les domaines de l'économie internationale et du développement. Il publie par ailleurs des chroniques régulières qui sont également disponibles sur son blog. Plus généralement, ses derniers travaux s'intéressent principalement aux déterminants de la croissance et de développement des pays dans le monde.

Chercheur International sur les questions du Commerce, des Finances et du Développement . Au sein de l'OMC, Faustin Mukela fournit d'analyse et de recherches économiques pour appuyer les activités opérationnelles de l'organisation ainsi que les négociations commerciales multilatérales, plu-latérales et régionales en cours: en contribuant à la production des publications annuelles régulières, notamment le Rapport sur le commerce mondial,les rapports d'examens de politiques commerciales des pays membres, ainsi que d'autres publications connexes. En évaluant correctement les besoins et en concevant des programmes appropriés d'assistance techniques liées au commerce pour les pays en voie de développement, et en particulier ceux d'Afrique, d'Asie,et du Pacific, il contribue de manière significative à renforcer les capacités institutionnelles et humaines de ces pays;renforçant ainsi leur capacité à participer d'une manière effective et efficiente au système de commerce multilatéral, tirant ainsi profit des avantages considérables qu'offre ce système .
FONCTION
Conception, Analyse, Maîtrise, Organisation, Définition, Enseigner, Orienter, Redéfinir. Tout sur la Politique, l'Économie , le Savoir-Faire d'une Disciple pour tout celui qui aime la Matière, la Connaissance ....
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Haut Fonctionnaire - Conseiller, Chef, Bureau Régional pour l'Asie et le Pacifique, Institut de Formation et Coopération Technique, Organisation Mondiale du Commerce (OMC). Depuis Janvier 2014 à ce jour, Genève, Suisse.
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Haut Fonctionnaire - Conseiller, Coordonnateur de la Région Afrique et des pays membres de la Francophonie, Institut de Formation et Coopération Technique, Organisation Mondiale du Commerce (OMC), un portefeuille de gestion de 74 pays. De Novembre 2008 à Décembre 2013, Genève, Suisse.
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Haut Fonctionnaire - Conseiller, Administrateur Principal des Questions Économiques et d'Analyse, Division des Recherches Économiques, d'Analyses et des Statistiques, Organisation Mondiale du Commerce (OMC) de 1996 à Octobre 2008, Genève, Suisse.
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Administrateur, avec rang de Ministre, en charge du Programme National de Désarmement, Démobilisation et Réinsertion, Kinshasa, D.R. Congo: Septembre 2004 – Octobre 2006.
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Conseiller Économique et de Développement du Chef de l’Etat de la République Démocratique du Congo, avec rang de Ministre, Kinshasa, D. R. Congo: Février 2001 – Octobre 2003.
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Professeur d’Economie, Finance et Econométrie à l’Université de Nagoya au Japon.
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Professeur d’Économie et des Finances à l’Université Internationale de Genève, Genève, Suisse.
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Enseigne comme professeur visiteur dans plusieurs universités dans le monde entre autres au Japon, au Singapore, en Thaïlande, au Sénégal, en Autriche, au Botawane, au Cameroun, en Tunisie, au Gabon, au Maroc,au Swaziland,aen Indonésie, etc.

